A Westlake, en Louisiane, un basset est accusé d’avoir violé la chienne des voisins. La maîtresse est donc contrainte de se rendre au tribunal.
Aux Etats-Unis, il est des lois aussi sévères pour les animaux que pour les humains.
Pour preuve, Yvette Richard et son basset d’un an, assignés à comparaître pour le viol d’une autre chienne. Sur le bordereau de verbalisation, le policier y a inscrit : « Ce chien a abusé d’un autre chien non consentant. »
Les faits auraient eu lieu le 15 décembre dernier alors que « Donte », le nom de l’accusé, s’est faufilé par le trou qu’il avait sans doute creusé au fond du jardin pour accéder à celui des voisins.
La chienne, dont le nom et la race sont inconnus, s’y trouvait et aurait été « agressée » par Donte. Les enfants auraient également été effrayés par le chien. Des événements succints qui auraient conduit les voisins à demander à ce que Yvette Richard soit convoquée au tribunal.
La propriétaire se défend : « C’est impossible. Nos chiens sont peut-être un peu chipie, mais ils sont très amicaux ». Et d’ajouter malicieusement : « Je me demande qui sera enregistré comme l’agresseur sexuel. Moi ou mon chien ? »
