Victoire en demi-teinte pour les défenseurs des dauphins

Mardi 1er août, le Conseil d’Etat a rendu sa décision concernant l’arrêté interministériel sur les delphinariums suite à la saisie par trois parcs marins qui contestent l’interdiction de l’usage du chlore dans les bassins ainsi que l’interdiction de reproduction des mammifères captifs.

A la veille du second tour des élections présidentielles, Ségolène Royal a modifié ce texte de loi qui vise à améliorer les conditions de détention des animaux marins en captivité dans les parcs marins, en particulier les dauphins et les orques.

Trois parcs ont ainsi saisi la plus haute juridiction administrative, Planète sauvage, le parc d’Astérix et le Marineland situé à Antibes (Alpes-Maritimes).

Ces établissements zoologiques contestent plusieurs points importants de l’arrêté, dont le délai de mise en vigueur fixé à six mois.

Le Conseil d’Etat a suivi les recommandations des parcs sur ce délai ainsi que sur l’usage du chlore pour le traitement des eaux des bassins en suspendant l’arrêté.

Cependant, l’interdiction de reproduction des cétacés n’a pas été ajournée, tout comme l’obligation de développer les espaces où évoluent les animaux captifs.

Cet arrêté répond aux vives critiques d’une partie de l’opinion publique sur le traitement des animaux marins dans les parcs.

Il prévoit de nombreuses améliorations des conditions de détentions des vedettes de ces parcs d’attraction.

SOURCE

RÉPONDRE

Veuillez entrer votre commentaire !
Veuillez entrer votre nom

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.