Antonio de la Rua, ancien petit-ami de la chanteuse, aurait déposé plainte à son encontre visant ainsi à récupérer une partie des gains de la star qu’elle devrait à la gestion de son image dont il s’était chargé.
« La combinaison des talents de businessman de M. de la Rua et des talents artistiques ainsi que du sex appeal et de la beauté du défenseur ont permis de faire monter la valeur du partenariat bien au-delà de ce qui été prévu ou imaginable » mentionne la plainte déposée le 20 novembre dernier à la Court Suprême de l’Etat de New York.
M. de la Rua espère obtenir une compensation de ses gains « passés et futurs » qu’il estime à près de 100 millions de dollars. D’après ses avocats, Shakira aurait rompu son contrat. L’arrangement entre les deux n’était toutefois pas écrit.
D’après Me William Reid, qui représente le plaignant, le partenariat entre Shakira et Antonio de la Rua comprendrait diverse dates de concert mais aussi la décision d’enregistrer le tube « Hips don’t Lie » et les discussions pour que le titre « Waka Waka » devienne le thème de la coupe du monde d’Afrique du Sud.
D’après la plainte, « De la rua a passé plus de six ans à faire de la marque Shakira une des valeurs les plus sûres de l’industrie du disque ». « Les bénéfices générés en 2011 et 2012 [soit après leur séparation en 2010] ainsi que les millions de dollars des années futures ont été générés grâce aux partenariats qu’il a conceptualisés, négociés et mis à exécution ».