Vendredi 11 mars, deux jeunes filles de 15 et 17 ans ont été mises en examen pour avoir planifié des attaques terroristes.
Mercredi 9 mars, les enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) ont interpelé un groupe de quatre jeunes filles qui échangeaient des messages planifiant une attaque similaire à celle de la salle de concert mythique du Bataclan à Paris.
Parmi elles, deux sont sœurs mais les quatre adolescentes vivent dans des villes différentes et les deux autres protagonistes ne se connaissent pas, elles ne se sont jamais rencontrées.
Les autorités ont mené des perquisitions qui n’ont pas permis de mettre la main sur le moindre élément matériel à charge. Le projet d’attentat n’était vraisemblablement qu’au prémisse, à l’étape de la discussion.
A la suite des gardes à vue, deux ont été relâchées tandis que deux mineures de quinze et dix-sept ans ont été mises en examen pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste. La plus âgée des deux prévenues a été placée sous contrôle judiciaire alors que la fille de quinze ans a été placée en détention provisoire, conformément aux réquisitions du parquet.
