Le tribunal de Pau reconnaît la dangerosité des vaccins à base d’hydroxydes d’aluminium

Le tribunal administratif de Pau a tranché en faveur d'une infirmière de 47 ans qui plaidait pour que soit reconnue la dangerosité des vaccins contenant des hydroxydes d'aluminium contre l'hépatite B, fréquemment administrés aux infirmiers.

Hier, le tribunal administratif de Pau a enfin reconnu la nocivité des vaccins à base d'hydroxyde d'aluminium, régulièrement administré au corps infirmier pour lutter contre l'hépatite B.

Un lien de cause à effet entre le vaccin à base d'aluminium et la myofasciite à macrophage

La plaignante, Martine Sempietro, 47 ans, infirmière et pompier bénévole avait saisi le tribunal après avoir découvert sa maladie il y a 7 ans : une myofasciite à macrophage. , ce que lui refusait son employeur, l'hôpital d'Oloron-Sainte-Marne en Pyrénées-Atlantiques.

Selon elle, il ne faisait aucun doute que les vaccins contre l'hépatite B, contenant de l'hydroxyde d'aluminium, qu'elle prenait fréquemment depuis 1983 dans le cadre de sa profession, était à l'origine de sa maladie.

Trois expertises sur les quatre réalisées à la suite de sa plainte ont révélé qu'il y avait bien un lien de cause à effet.