Les théories du complot qui entourent la mort de la princesse Diana, morte sous le tunnel du Pont de l’Alma à Paris en 1997, vont de bon train. La dernière date de cet été lorsque plusieurs médias britanniques ont annoncé que les troupes d’élite de Sa Majesté auraient été à l’origine du drame.
La thèse écartée par la police
Concernant la possibilité que les SAS, les troupes d’élite britanniques, soient à l’origine de l’assassinat supposé de la Princesse de Galles, la police britannique a été formelle : il n’y a pas « de preuves crédibles » d’une telle chose.
Cette décision a été prise après « une enquête pour évaluer la pertinence et la crédibilité » de certaines informations sur le sujet reçues par la police en août 2013. Parmi celles-ci, il était clairement déclaré que Diana Spencer et Dodi Al-Fayed auraient pu avoir été assassinées par les troupes d’élite de Sa Majesté la Reine.
La thèse de l’accident toujours privilégiée
Au final, rien n’aura changé concernant l’accident du Pont de l’Alma, et ce malgré les informations dévoilée par un ancien soldat des SAS, le tireur d’élite Danny Nightingale.
La thèse la plus probable et officiellement retenue reste celle de l’excès d’alcool du chauffeur de la princesse et de Dodi Al-Fayed. Henri Paul, selon les informations et le témoignage du garde du corps, Trevor Lee-Jones, qui a survécut à l’accident, aurait tenté de fuir les paparazzis en roulant trop vite, notamment à cause de l’alcool.
Plusieurs enquêtes sur cet accident ont été menées afin de vérifier toutes les théories du complot qui ont pu surgir depuis la nuit de l’accident. Mais aucune n’a été retenue et toutes ont été invalidées.