Albert Uderzo n’est pas victime d’abus de faiblesse

Dans la bataille intestine de la famille Uderzo vient de se clore un volet important avec la décision des juges d’instruction du tribunal de Nanterre de décréter un non-lieu concernant la plainte de la fille d’Albert Uderzo qu’elle soupçonnait victime d’abus de faiblesse.

Pas d’abus de faiblesse envers le créateur d’Astérix

Albert Uderzo, créateur du célèbre gaulois Astérix avec René Goscinny, ne serait pas victime d’abus de faiblesse. Pour les juges du tribunal de Nanterre, qui ont étudié la plainte contre X déposée par la fille du dessinateur et envers laquelle Albert Uderzo s’est insurgé, il n’y a pas de « charges suffisantes ».

Personne n’aurait donc pu abuser du grand dessinateur que les juges estiment être un homme lucide ayant encore « la pleine capacité à prendre des décisions ». Ainsi faisant, les juges ferment donc un volet de cette bataille intestine qui déchire la famille Uderzo depuis des années, sur fond d’héritage potentiel de l’œuvre du dessinateur.

Cette plainte, qui s’est donc conclue avec un non lieu ce mercredi 11 décembre 2013 avait été déposée par la fille Sylvie Uderzo contre X en 2011.

Mais, dans la famille, il reste encore une affaire en suspend et, cette fois, c’est Sylvie Uderzo qui est sur le banc des accusés. Albert Uderzo et sa femme Ada ont en effet déposé il y a plusieurs années une plainte pour violences psychologiques à l’encontre de leur fille et de leur gendre.

Et cette plainte court toujours.