La justice refuse d’arrêter l’injection légale aux USA.

L'histoire avait fait scande aux USA : Un condamné à mort par injection létale avait souffert 43 minutes avant que la mort arrive après l'injection de produits non testés.

 

C'est l'État de l'Oklahoma qui avait fait cette requête pour arrêter cette méthode d’exécution qui avait provoqué le scande en avril 2014 quand un condamné avait véritablement souffert longuement de cette injection létale.

Le juge Stephen Friot n'a pourtant pas décidé d’interdire cette façon de faire, estimant même que la requête des plaignants n'était pas valable. Rappelons quand même que le condamné est mort après 43 minutes d'injection.

Pourquoi cette plainte ? Car les produits injectés n’étaient pas suffisamment testés, une enquête a montré que les produits utilisées le midazolam, le bromure de vécuronium et le chlorure de potassium avaient été mal placés et pas assez sous contrôle.

Les avocats eux ont considéré cette pratique comme des produits « expérimentaux utilisés sur des êtres humains » provoquait une « mort longue et cruelle qui eux ne savaient même pas ce qu'ils subissaient comme traitement.