Jacques Peyrat, ancien maire de Nice, ainsi que Jacqueline et Patrick Villardry, ont été relaxés en appel. Ils étaient accusés d’être à l’origine d’emplois fictifs.
Jacques Peyrat, président de l’Entente républicaine, a gagné son procès en appel à la cour d’Aix en Provence. Il était accusé d’avoir eu recours à des emplois fictifs alors qu’il était maire de Nice.
Il était ainsi accusé d’avoir employé Jacqueline Villardry à la mairie, femme qui n’aurait pourtant jamais eu de réelles activités dans cette mairie. Il était également accusé d’être en lien avec le détachement injustifié d’un agent municipal qui exerçait dans une association présidée par Patrick Villardry.
Ces trois personnes ont été relaxées en première instance mais le parquet avait poursuivit en appel ses accusations d’emplois fictifs. « Nous étions dans un procès politique. Dans le dossier il n’y avait rien. Absolument rien. Je n’étais pas inquiet. J’attendais la décision avec confiance » a déclaré l’ancien maire.
